Vous avez autant de premières fois que vous voulez en vivre 😉

ATTENTION : cette vidéo est écrite avec beaucoup d’humour et de 2nd degré, et c’est une chronique : un avis subjectif. Mon avis à moi n’a jamais été plus important qu’un autre, et certainement pas plus important que le votre !

https://www.youtube.com/watch?v=IpJmmHY1pS8

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Le texte de la chronique :

Bizarrement, la question qui me revient le plus souvent des tréfonds de ce purgatoire qu’est l’adolescence c’est :

Comment ça se passe, la première fois ?
C’est vrai que c’est angoissant, hein, la première fois… Est-ce que ça fait mal ? Est-ce que je serai à la hauteur ? Ça va puer ? Je vais ressentir quoi… ? Il faut le faire quand ? Et où ? Et avec qui ?

Chères pucelles et puceaux j’ai envie aujourd’hui de calmer vos peurs direct : rassurez-vous, ça va mal se passer. Si tout va bien, ça devrait mal se passer.

Mais oui ! La plupart des premières fois que j’ai entendues racontent des moments maladroits, de pathétiques balbutiements, des caresses drôlement foireuses et de magnifiques plantages. Parce que la base, c’est qu’on ne sait pas. Une fois devant le corps désiré, on est… comme un apprenti marmiton devant sa première pâte à crêpe.

Oui, le sexe, c’est comme tout : ça s’apprend. Le meilleur moyen d’avoir de l’expérience, c’est encore d’essayer, se foirer, et de recommencer. Le tout, c’est donc de réussir à rater très joliment votre première fois. Que ce plantage vous donne plus l’envie de vous y remettre que de vous cacher dans un couvent. Et pour cela, j’ai quelques conseils.

Déjà, la meilleure raison à mes yeux pour passer le pas, c’est d’en avoir vraiment envie. Le faire parce que vous voulez être la première de la classe (ou surtout pas le dernier), parce qu’on vous le demande de manière insistante, ou pour faire râler copains et parents… ça c’est des raisons de la tête. Et votre corps ne sera pas forcément au diapason, ce qui risque de donner un truc franchement décevant.

Tandis que le faire quand vous sentez que l’envie est pressante, que le désir monte, que dans le slip ça crie « là, là ! Maintenant ! J’en veux vraiment et j’en veux là ! »… C’est vous assurer que votre corps sera prêt à faire sauter quelques fusibles.

Comme on ne décide pas de quand l’envie nous en prend, il n’y a pas non plus de bonnes ou de mauvaises circonstances pour le faire. Vous pouvez vous imaginer le lit avec les pétales de roses et les bougies, et finir par vous éclater dans la chambre de votre petite sœur sous le regard circonspect de Mickey, Dora et dess One Direction. Vous pouvez fantasmer sur le fait de mouiller les sièges de la twingo sur le parking du Macumba et finalement vous éclater dans la grange de votre oncle parmi les cuicui des zosiaux !

Pensez du coup à écouter votre corps. Si la pression monte très vite ou très tôt, ben allez vers la jouissance. Dans 5 minutes, vous pourrez remettre le couvert alors pas de soucis ! Si vous voulez vraiment pas ben… arrêtez tout et passez à des baisers, caresses et autres excitations plus douces.

La douleur est aussi un très bon professeur. Quand vous avez mal, c’est juste que votre corps vous dit « non, attend, c’est pas comme ça qu’il faut faire ». Se tordre la queue pour jouer aux acrobates amateurs, ça sert à rien. Un orifice qui a mal, c’est qu’on ne l’a pas assez ouvert à grands coups de léchouilles, caresses et autres papouilles. Si ça arrive, c’est l’occasion d’explorer encore plus ces jeux là : ça marche.

J’imagine que mes réponses sont un peu frustrantes… Vous aimeriez savoir comment on fait, comment on s’y prend. Mais la vérité, mes amours, le secret bien gardé : c’est que personne ne sait comment on fait ! Même pas moi, surtout pas moi !

C’est un nouveau territoire sur lequel on arrive nu. Alors oubliez les méthodes youporn du « j’t’avale, tu me lèches, han-han-han, éjac faciale » ça marche que dans les pornos, ou presque.

Mais rappelez-vous que les baisers sont un acte sexuel, les caresses, masturbations, pipes, cunni et annulingus sont des actes sexuels…

En vrai, vous avez autant de premières fois que vous le désirez. Autant d’occasions de réussir à bien se planter. Et chacune de vos premières fois vous en apprendra un peu plus sur votre cul…

…jusqu’au jour où ; comme moi, vous pourrez vous dire à la face du monde que mon cul, c’est du Pouhiou.

Crédits et Licences

Un épisode chaque vendredi sur deux à 18h. Pour ne pas en louper un, pense à t’abonner.

Une vidéo réalisée et montée par Marlène Tajan.

Son :  Victor Toulouse.

Musique de fond: Drops of H2O CC-BY J.Lang.

Musique générique : LAL Eugène Lawn avec la voix de Dusport.

Dessins : CC-0 Kaweii

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