Les réseaux sociaux :
Je suis très actif sur les réseaux, et j’essaie de répondre à chacun et chacune… Cela prend beaucoup de temps, d’énergie, et de tapotage de clavier… Mais je n’arrêterai que lorsque ça commencera à bouffer du temps sur la création (de vidéos, romans, scénars de BD et autres…) en soi.
En attendant, tu peux me retrouver sur :
Mon email :
Pareil, si tu prends le temps de faire un email, je vais m’efforcer d’y répondre… Là aussi, cela prend du temps, et je ne fais que de mon mieux !
Si tu as une demande de presse ou de partenariat, c’est bien de le mentionner dans le sujet.
Non, je te présenterai pas un formulaire de contacts à la con.
Oui, mon email grand public est un gmail… tout ce que tu m’y écriras pourra être retenu contre toi par la NSA.
pouhiou [chez] gmail [point] com
Me faire un don :
Tous mes contenus sont libres et gratuits, et ils le resteront.
Néanmoins, les concevoir, les réaliser, les diffuser et répondre à chacun-e me prend un temps précieux. J’ai choisi de prendre ce temps en vivant de petits boulots (genre mi-temps au SMIC) et de chômage. Cela veut dire que je vis avec trois fois rien, à flux tendu niveau fric, en mode débrouille décroissante.
Du coup, si tu peux et si tu as envie de me faire un don, il sera le bienvenu et me permettra de me dégager du temps et de l’esprit libre pour continuer, faire plus, faire mieux.
L’économie du don n’est pas une question de pitié. J’assume mes choix, je vis tel que je l’entends, et si jamais je suis en galère… ben j’ai une famille, des ami-e-s, etc.
Le don est un soutien. Tu donnes parce que tu souhaites exprimer ta gratitude pour une oeuvre, pour une démarche, pour soutenir la démonstration d’autres possibles.
Tu donnes déjà (probablement ^^) ton attention aux œuvres que je propose. Si tu les commentes, tu leur donnes un contexte. Si tu les partages, tu leur donnes de la voix. Si tu t’en inspires, tu leur donnes une filiation, une continuité.
Ce blog n’est pas « à prix libre »… comme s’il y avait quelque chose à acheter, comme si on était en négoce toi et moi (quelle affreuse expression !). Il n’y a rien à faire de ta part, tout t’appartient déjà. On pourrait croire que ça dévalue les œuvres qui y sont, mais tu n’es pas dupe. Tu sais que c’est le contraire. Ces oeuvres peuvent être précieuses à tes yeux, justement parce qu’elles sont tiennes, parce que je nous les ai confiées.
Mon travail est un don.
Un don qui n’attend rien de toi.
Et un don qui acceptera les dons, quels qu’ils soient.